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jeudi 28 mars 2024

Maison de quartier du centre-ville d’Argenteuil, un interphone dorénavant mais toujours pas d’accès facilité pour les fauteuils et les poussettes

De fermeture en fermeture

 

 

Pour entrer dans la Maison de quartier du Centre-Ville, il faut dorénavant montrer patte blanche. Un interphone vient d’être installé. Il faut espérer qu’il y aura toujours quelqu’un à l’intérieur pour vous ouvrir.

         Certes, la « sécurité » est le produit d’appel de la municipalité. Mais ce genre de « fermeture » du lieu était-il bien nécessaire ?

         Et il n’y a pas d’argent pour construire un accès pour les fauteuils de personnes handicapées et pour permettre un accès facilité pour les poussettes de bébés ?

         Cela serait pourtant une priorité ! DM

 

jeudi 29 février 2024

Handicap : Manque d’AESH et de places dans les IME. À Rennes comme ailleurs.

 

Des moyens pour les enfants handicapés

 


200 personnes, dont nombre d’enseignants et parents d’élèves, ont manifesté mardi 20 février devant le conservatoire du Blosne, un quartier populaire de Rennes (Ile et Vilaine).

         Cela fait suite à des semaines de protestation dans des écoles de Rennes contre le manque d’AESH (Accompagnant d’élèves en situation de handicap) pour assister des élèves handicapés : sur le seul secteur de la cité éducative du Blosne, il y a 38 postes d’AESH vacants !

Mais il manque aussi cruellement de places dans les IME (instituts médico-éducatifs) pour lesquels 900 élèves sont en attente !        L’École inclusive, c’est sur papier, mais pas dans la réalité.

jeudi 5 octobre 2023

Éducation, AESH : de quoi se révolter ! Un article de notre hebdomadaire Lutte ouvrière à paraître

                                                 AESH : de quoi se révolter !

04 Octobre 2023

Le 3 octobre, les accompagnants des élèves en situation de handicap, les AESH, qui permettent à des jeunes atteints d’un handicap quel qu’il soit d’intégrer l’école comme les autres enfants, étaient appelés par les syndicats à faire grève.

Ce sont leurs conditions de salaire et de travail et, de ce fait, les conditions d’accueil de ces jeunes qui se détériorent.

« En moyenne, les AESH n’obtiennent que des contrats de 21 heures par semaine, pour un salaire mensuel en dessous de 800 euros. Vous vous rendez bien compte que c’est invivable », témoignait une AESH au collège Saint-Exupéry de Lons-le-Saunier syndiquée au Snuipp (principal syndicat dans l’enseignement primaire).

Ces petits contrats lais­sent les employés, en gran­de majorité des femmes, dans une situation précaire. Mais ce sont aussi les jeunes handicapés qui pâtissent de la situation, car ils ne bénéficient pas de conditions qui leur permettent d’étudier et de progresser. Sans parler du fait que, trop souvent, le nombre trop faible d’AESH ne permet même pas aux parents de scolariser leur enfant.

Une salariée expliquait ainsi qu’une semaine après la rentrée, on lui a annoncé qu’elle devait s’occuper d’un élève supplémentaire, alors que, sur ses 21 heures hebdomadaires, elle avait déjà la charge de deux adolescents en difficulté. « J’ai dû refaire tout mon planning, et diviser par deux les durées d’aide », a-t-elle dénoncé.

Le gouvernement ne prévoit aucune embauche à la mesure des besoins, bien au contraire. Il envisage en effet de fusionner le métier d’AESH avec celui de surveillant (Assistant d’éducation, AED), soi-disant pour offrir un temps plein aux AESH, mais pour faire le travail de deux personnes ! Voilà un moyen commode d’en diminuer le nombre global, et ce alors qu’il manque déjà des surveillants dans les établissements scolaires.

Une situation révoltante à plus d’un titre contre laquelle les AESH ont totalement raison de protester.

                                                  Aline RETESSE (Lutte ouvrière n°2879)

 

À Toulouse

Les prochaines permanences prévues :

-Vendredi 6 octobre, de 15 h.40 à 16 h.40, marché du Val-Nord ;

- et de 17 h.15 à 18 heures 15, carrefour « Babou » ;

-Samedi matin 7 octobre, de 10 h.15 à 10 h.55 devant Monoprix ;

-de 11 h. à midi devant Auchan, Zup-sud ;

- et de 11 h. à midi au marché de la Colonie ; 

-Dimanche 8 octobre :

-de 10 h.15 à 10 h.55 devant l’Intermarché du Centre ;

- et de 11 h. à midi, au marché Héloïse ;

-Lundi 9 octobre, de 18 h. à 19 h. centre commercial des Raguenets à Saint-Gratien ;

-Mardi 10 octobre, de 18 à 19 heures devant l’Intermarché de la cité Joliot-Curie.

Toutes les semaines, l’hebdomadaire Lutte ouvrière est aussi en vente à la librairie Le Presse-papier et au Tabac-Presse du mail de la Terrasse du quartier du Val-Nord que nous remercions.


vendredi 14 juillet 2023

Argenteuil, améliorations pour les personnes subissant un handicap, une question de priorités

Etre aux côtés des plus fragiles

 


Le handicap était à l’ordre du jour du dernier conseil : actuellement seulement 13% d’accessibilité à la voirie reconnaît la municipalité. Cela indique le chemin qui reste à parcourir.

         La solution du problème est une question du budget que l’on y consacre, et en conséquence, de priorité.

         Mais cela devrait relever d’abord d’une priorité et un engagement de l’État. Ce n’est évidemment pas le cas aujourd’hui.

         Organisée par l’État ou par les Villes, les personnes subissant un handicap attendent simplement de pouvoir vivre le plus normalement possible. DM