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mercredi 4 février 2015

Elections départementales dans le Val d'Oise, les candidats de Lutte Ouvrière




A Argenteuil, Bezons, Saint-Gratien et Sannois, des candidatures de LUTTE OUVRIERE
Pour faire entendre le camp des travailleurs


Lutte Ouvrière présentera des candidats aux prochaines élections départementales des 22 et 29 mars dans trois cantons du Val d’Oise de la région d’Argenteuil : les cantons d’Argenteuil 1 qui inclut une partie de la commune d’Argenteuil et les communes de Saint-Gratien et de Sannois, Argenteuil 2 qui comprend la plus grande partie d’Argenteuil, et Argenteuil 3 qui comprend Bezons et le quartier du Val-Notre-Dame d’Argenteuil.
         Nous pouvons d’ors et déjà annoncer dans le canton Argenteuil 1 les candidatures de Hélène HALBIN, institutrice, et de Abdel-Basett NEFTIA, ouvrier dans l’aéronautique, qui auront respectivement comme remplaçants, Agnès REINMANN, professeure des Ecoles spécialisée, et Abdelatif EL MARBATI, aide-soignant.

Dans le canton Argenteuil 2, Sonia ALLANI, informaticienne dans une entreprise de location de voitures, et Dominique MARIETTE, enseignant à la retraite, auront respectivement comme remplaçants, Valérie SUAREZ, employée dans un lycée, et Ahmed EL AISSAOUI, chauffeur-livreur.

Dans le canton Argenteuil  3, Michel CAMPAGNAC, enseignant aura pour candidat-remplaçant Rémi GAJDOS, ouvrier dans l’automobile. Aline GRESSIER aura quant à elle comme remplaçante Odette GARDEUX, ouvrière retraitée.

Le vote pour les candidats ouvriers de Lutte ouvrière sera le moyen d’affirmer que nous ne nous laissons plus berner, d’illusion électorale en illusion électorale, par des politiciens au service des riches, qu’ils soient de gauche, de droite, ou  ceux d’extrême-droite qui rêvent de les remplacer.
Il s’agit de profiter de ce vote pour faire entendre les exigences des travailleurs. Il faut imposer au patronat de mettre fin au chômage en interdisant les licenciements et en partageant le travail entre tous sans pertes de salaires.
Il faut augmenter les salaires, les pensions et les allocations dont les niveaux aujourd’hui ne permettent pas de vivre décemment pour les classes populaires, pendant que les classes riches vivent dans le luxe.
Il faut enfin contrôler les comptes et les décisions des capitalistes qui imposent leur dictature sur la société.
Ces candidatures donnent l’occasion, dans ces trois cantons, d’affirmer fièrement les exigences de notre classe,  les exigences de ceux qui font vivre la société et l’enrichissent. C’est la seule chose utile à faire pour les travailleurs avec le bulletin de vote.
Puisqu’on nous demande notre avis, donnons-le ! C’est un premier pas, la condition préalable aux grandes luttes collectives qui permettront d’imposer nos exigences aux capitalistes et aux financiers qui vivent en parasites sur la société.