mercredi 15 février 2012

Menace de grève et sa suite chez Casino : « mieux vaut tôt que tard »

Les salariés de magasin « géant casino » de Cormeilles ont débrayé aujourd'hui et menaçaient d'être en grève illimitée à partir de demain
     Comme par enchantement,  ils ont obtenu, selon la CGT, satisfaction à leurs revendications, soit :
     -une prime équivalente à un mois de salaire ;
     -une augmentation salariale ;
     -le paiement des heures débrayées ;
 -et la "mutation du directeur".
     Voilà, semble-t-il une direction en l’occurrence intelligente.


Mais on dit aussi : "pourquoi attendre quand les problèmes sont connus de longue date"

Les employées territoriaux des médiathèques d'Argenteuil se sont réunis hier pour une information syndicale. Conditions de travail, remplacement des postes vacants, ils réclament une solution depuis des semaines.
     Le jour de leur information syndicale, ils ont eu un courrier comme quoi tout ce qui est en suspens allait être réglé.
     On dit : "mieux vaut tard que jamais"...

On hésite entre les termes "bêtise" et "ordure"

Un député de l'UMP spécialiste de ce genre de bêtise vient de jouer à son petit Le Pen. Il a nié un fait connu de tous : la répression des homosexuels durant la Seconde guerre mondiale par les nazis, là où son mentor minimisait la Solution finale.
    Chacun choisit son terrain d'ignominie. Mais quelle qu'elle soit, on est toujours dans le domaine de l'ignominie.

Géant casino : pas "géant" pour les travailleurs

Les travailleurs du magasin Géant-Casino de Cormeilles-en-Parisis s'apprêtent à faire grève. Rien ne va plus.
     Pour les salaires ? Pour les conditions de travail ?
     Sans se tromper, on peut répondre par l'affirmative.

Il habite où ?

Dans la même veine, le Hollande a déclaré qu’en France il n’y avait plus de communistes, de quoi rassurer ses interlocuteurs amis des financiers, s’il en était vraiment besoin.
     Dans le monde où il vit, des communistes, on peut imaginer, qu’il n’en rencontre pas.
      Dans les quartiers populaires, dans les entreprises, parmi les pauvres et les exploités,  bref, au coeur du monde du travail, on peut toujours lui en présenter.