Affichage des articles dont le libellé est actualité locale. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est actualité locale. Afficher tous les articles

lundi 9 juin 2014

La fête de lutte Ouvrière ce lundi encore, personnels en colère contre la réforme des rythmes, le Comité Ali Ziri



Lundi de Pentecôte à la fête de Lutte Ouvrière « Après la pluie le temps est beau, prenez garde, vous les sabreurs, vous les gavés » (La Jeune garde)

Super journée de fête hier à Presles. Dès que nous pourrons extraire les belles photos de Daniel, nous les mettrons sur ce blog pour faire saliver les absents.
         Bien sûr, à 21 heures, mieux valait avoir un casque de chantier pour circuler dans les allées. Les grêlons ont amusé tout le public et les militants protégés dans les stands et les structures. Quant aux amis venus d’Argenteuil en car, ils étaient rentrés depuis belle lurette. Mais la belle journée ensoleillée s’était déroulée sous les beaux auspices d’une fête unique.
         Alors, ceux qui n’étaient là ni hier ni avant-hier, ils seront là aujourd’hui ?

Personnels en colère de Bezons se rassemblent mercredi 10 heures mairie de Bezons

Les personnels mobilisés de Bezons contre les conséquences de la réforme des « rythmes scolaires » ne désarment pas. Ils appellent à un nouveau rassemblement après-demain mercredi devant la mairie.
         La semaine passée, la municipalité ne voulait pas entendre les revendications des personnels, territoriaux et de l’Education nationale. Ces travailleurs en colère ont pu découvrir dans la dernière livraison du bulletin municipal de juin, à travers l’éditorial du maire, tout le mal que celui-ci pendait de la réforme.
         Alors il devrait maintenant, en toute logique, entendre les revendications des personnels.


Ali Ziri, un rassemblement mercredi 18 heures, nouveau parc des Berges de Seine à Argenteuil

Il y a cinq ans maintenant qu’Ali Ziri a quitté ses proches. Cinq ans d’actions et de protestations pour connaître les conditions de sa mort et mettre en lumière les responsabilités des policiers qui l’arrêtèrent.
         L’espoir du Comité pour la Vérité et la Justice a été relancé par la décision de reprendre le fil de la procédure pour connaître cette vérité.
         Le Comité appelle à un rassemblement au parc des Berges de la Seine ce mercredi à 18 heures.

mercredi 4 juin 2014

M. Mothron et la cité Joliot-Curie



M. Mothron Georges pris en flagrant délit de mensonge après avoir fait mine de faire acte d’une vérité bien tardive

Le journal régional La Gazette vient de s’entretenir avec le nouveau maire d’Argenteuil. Nous extrayons de cet entretien le morceau de bravoure, in extenso, suivant. Nous mettons seulement en italiques et en gras le passage qui vise en particulier les militants de Lutte Ouvrière qui ont animé la lutte contre la démolition de la cité Joliot-Curie.

« • Qu’avez-vous appris du mandat 2001-2008 ? Y-a-t-il des choses que vous ne referiez pas ?
- Une des choses qui nous a fait perdre en 2008 est de ne pas avoir assez promu ce qu’on faisait. On sortait d’une situation financière difficile et je ne voulais pas trop dépenser en communication. Par exemple Joliot-Curie où j’ai voulu jouer la parfaite transparence. Comme d’autres villes, nous envisagions la destruction de ces bâtiments datant de 55 ans, qui n’ont plus cours.
Cette opération a été totalement pipée par mes adversaires politiques, qui ont dit que je voulais faire du «nettoyage social», faire partir des gens. Ils ont pris en otage des personnes âgées, qui vivent là depuis le début. On a perdu de 475 voix sur ce bureau alors qu’on a perdu la ville de 327 voix. Tout s’est joué là. Mais les gens se sont rendus compte qu’ils s’étaient fait avoir par Doucet, qui a mis 20 millions d’euros pour réhabiliter, mais c’est toujours le même bâti. C’est honteux.

• Le Mothron 2014 est-il différent du Mothron 2008 ?
- Il a pris six ans, donc il a forcément pris de la sagesse… mais je reste réactif. Disons que le cuir s’est tanné…"

Commentaire :
-M. GM avoue enfin qu’il voulait bien détruire Joliot-Curie.
-M. GM est un calomniateur à l’encontre de ses adversaires politiques, c’est-à-dire essentiellement nous-mêmes, qui auraient "pris en otage des personnes âgées ». Ce ne serait-ce pas le contraire par hasard, lui qui démoralisa alors nombre de ces personnes âgées rongées par l’inquiétude de devoir quitter leur quartier !
- « j’ai voulu jouer la parfaite transparence ». Après avoir avoué le voilà qui ment à nouveau, justifiant ce manque de transparence, total et absolu, par un soit disant souci d’économie de frais de communication !
Oui le temps a passé, mais il n’y a que le cuir tanné qui a pris de la sagesse.
Dominique MARIETTE, à l’initiative avec quelques autres du « Comité de Défense de Joliot-Curie » toujours vivant.

mardi 3 juin 2014

Territoriaux d'Argenteuil : ne laissons pas des centaines de travailleurs rejoindre Pôle emploi

Communiqué de Lutte Ouvrière-Argenteuil


Alerte !

Le nombre de travailleurs au chômage ne cesse d’augmenter dans le pays, et il faudrait que des licenciements aient lieu en silence et sans réaction à Argenteuil parmi le personnel municipal ? C'est pourtant ce qui est en train de se produire dans la commune.
         Nous le répétons, les agents contractuels sont dans le viseur de la nouvelle municipalité.
Elle nous parle de la situation budgétaire catastrophique de la commune. Mais les personnels sont la priorité. On ne peut pas envoyer au chômage des personnels après usage.
         Comment faire ? La municipalité  trouvera bien une solution. Et la population peut avoir son idée sur la question.
         Si le travail manquait, il faudrait répartir celui-ci entre tous. Mais, loin de là, les besoins à couvrir sur la localité exigent le maintien de tous les personnels du service public municipal.

         Prenons, à l’échelle du pays, ce qui vient de se produire dans le secteur de la Défense. Le gouvernement avait annoncé la réduction des crédits. Des dirigeants de l’armée ont menacé de démissionner si le gouvernement persistait. Face à cette menace, le gouvernement maintiendra les crédits.
         Ce qui est vrai à l’échelle du pays l’est également à l’échelle d’une commune. Il y a bien des moyens de pression à utiliser pour que la municipalité revienne sur ses projets à l’encontre des travailleurs communaux. Et  cela concerne tous les travailleurs territoriaux, titulaires ou non, toute la population, tous les syndicats, tous les militants du mouvement ouvrier, l'ensemble de la population. Ne laissons pas licencier ces travailleurs communaux sous prétexte de précarité.

                                                                                       le 3.06.14.