Argenteuil, trou de l’ancien siège d’AB-Habitat, mais pourquoi ce retard ? En tout cas, quel gâchis.

 

Franchement, mais qu’est-ce que ce trou de Première classe ?

 

Le siège d’AB-Habitat a quitté en 2016 l’angle de la rue Paul Vaillant-Couturier et du boulevard Léon Feix pour un nouveau siège installé à grand frais à la limite de Bezons. L’immeuble a été détruit pour laisser la place depuis sept-huit ans… à un trou.

         C’est bucolique, mais quel gâchis ?

         Comme si l’immeuble n’avait pas pu servir avant destruction-reconstruction autour d’un projet, pour servir, pour abriter des sans-abri, ou pour bien d’autres possibilités.

         Alors, qu’est-ce qui coince ? Encore une histoire de permis de construire ? DM

Cité du Château d’Argenteuil… de la déshérence au drame

 

Un aspect de la situation catastrophique d’AB-Habitat

 

L’affaire de la cité du Château est une épine dans le corps du principal bailleur dit social sur Argenteuil et Bezons, AB-Habitat, en grande difficulté aujourd’hui. Cette cité pauvre a été achetée il y a maintenant longtemps pour être rénovée de fond en comble, pour augmenter le nombre de logements gérés par le bailleur et lui permettre d’échapper, dans une visée de « gestionnisme » et de clientélisme, à l’union avec un autre bailleur, la limite d’autonomie pour un bailleur dit « social » étant dorénavant le fait de gérer plus de 12 000 logements.

         Mais cette rénovation a traîné depuis des années, faisant peser non seulement un poids financier sur le budget d’ABH, mais posant également des problèmes de sécurité. C’est dans ce cadre qu’un drame vient d’arriver hier : un incendie, et une victime, ce que les bien-pensants appellent un « squatteur » mais qui n’était qu’un être humain privé de logement.

         La reconstruction de la cité du Château doit commencer au plus vite ! DM

Argenteuil-Bezons, AB-Habitat, ça tangue dans le poste de commandement

Impression de naufrage en vue

 

 

Il y a de l’eau dans le gaz à la tête du bailleur dit « social » AB-Habitat. Certes, ce n’est pas nouveau, mais ce n’est pas de nature pour autant à diminuer les problèmes qui au final sont subis essentiellement par les locataires mais aussi par les agents du bailleur.

         Et pendant que la zizanie règne dans les hautes sphères, entre autres choses, le début de la rénovation lourde et nécessaire de la cité Champagne n’est toujours pas concrètement en vue.

         Il serait temps que les locataires prennent partout la parole pour défendre leurs intérêts chez ce « bailleur » de plus de 12 000 logements. DM