dimanche 16 octobre 2016

Argenteuil, édiles dans une pièce intitulée "une drôle de démocratie"


A l’opposé de la démocratie des travailleurs

 Nous pouvons discuter, sur la base des informations dont nous disposons, le projet « Héloïse », comme nous le faisons et comme nous allons continuer à le faire... mais « après » que des décisions aient déjà été prises. C’est cela qui est scandaleux, que ces messieurs décident sans aucune discussion préalable parmi la population. Bien évidemment, il n’y a pas à s’en étonner, c’est la loi du genre.

         Nous rappelons ci-dessous, une nouvelle fois les « engagements » électoraux de G. Mothron ? Nulle trace du projet. "Héloïse" !  S'il y le projet d'une grande salle se spectacle, nulle évocation d'un "pôle de commerce et de loisirs" ! Cette absence, une sorte de photocopie du comportement de son ami P. Doucet sur la question que nous rappelions hier.
          Et avant les décisions, aucune information, aucune discussion préalable.

         Duperie et silence sont certes la loi du genre. C’est même un fondement de l’ordre bourgeois dans lequel nous vivons. Industriels et banquiers décident dans le secret de leurs conseils. Ensuite, sacro-sainte propriété des moyens de production, c’est eux qui ont la main, et qui imposent leurs décisions aux travailleurs et à la société.

         Et ces messieurs nous parleront de « démocratie ».

         Pour les communistes, le pouvoir de la société sur son avenir, ce sera toujours : vous avez un projet, eh bien on le discute tous d’abord, et l’on tranchera une fois cette discussion achevées, sur la base de toutes les informations partagées par tous.

         Comme il était révélateur le lapsus de G. Mothron lors du dernier conseil municipal :  qui voulait faire voter, « avant » les interventions  !
                                                                 

 

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