Sur
vingt-trois médecins urgentistes du CHU de Grenoble, vingt-et-un menacent de
démissionner si rien n’est fait pour accueillir les patients dans de bonnes
conditions. Cela fait quatre années qu’ils dénoncent notamment le manque de
lits et le fait que certains malades peuvent attendre jusqu’à 48 heures avant
d’être installés dans une chambre ! Et Grenoble n’est pas une exception.
Les gouvernements réduisent le nombre de
lit dans les hôpitaux pour faire des économies sur la santé. Rompre avec cette
politique de réduction des dépenses de santé qui mènent à ces situations est
une urgence.
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